C’est l’été.
Ou en tout cas, ça y ressemble.Il fait chaud. Très chaud.
Le soleil darde de ses rayons, tandis que l’humidité s’évapore, saturant l’air d’une atmosphère tropicale.Au loin, de grands nuages blancs se forment et atteignent la tropopause. L’atmosphère devient lourde. Lourde et calme.Mais ce calme, c’est le calme avant la tempête. Un moment magique avant l’orage, à l’ambiance unique.
Gigantesque supercellule au dessus de la Suisse, éclairé par la lumière flamboyante d’un soleil couchant. Un spectacle unique (juin 2015).
Alsace tropicale
Le nuage pinocchio
Noir et blanc
Le déluge
Les griffes de la nuit
Les crocs du cumulonimbus
Supercellulaire
Cellule orageuse au dessus de Mulhouse. Si l’enfer se déclenche lè-bas, nous sommes ici au sec… et aux premières loges pour assister à ce spectacle dans les lueurs du soir (été 2015)
Barre de nuage d’orage s’abattant sur le village, vu depuis les toits de la localité… (été 2017)
Soirée tropicale
Nuage de type arcus rétro-éclairé par la lumière d’un soleil couchant, alors que l’enfer pluviométrique s’apprête à déferler sur un photographe en prise avec la force des éléments…
Imposante cellule orageuse à la base aussi noire que la nuit défilant tranquillement dans le ciel au nord du village (mai 2017).
La lumière du jour s’en va, la nuit nous envahit… cet impressionnant nuage d’orage venant du sud balaye les derniers coins de ciel bleu, alors que le soleil nous gratifie de ses derniers rayons (juillet 2016).
Une vision qui rappelle certains films de science-fiction, avec un nuage d’orage éclairé par un soleil déclinant, dessinant comme une porte des étoiles prête à engloutir le village.
Orage s’abattant sur un champ de carottes à pleine maturation. Notez la fracture nette entre le rideau de pluie et la partie encore ensoleillée de l’image… (septembre 2015).
Panoramique à 180° sur une gigantesque cellule orageuse venue de Suisse… qui eut néanmoins la décence de cesser ses ravages avant de franchir la frontière, se transformant en fin crachin une fois arrivé dans les cieux hexagonaux (juillet 2017).
Orage violent passant aux abords du village, s’abattant sur Rheinfelden (Allemagne / Suisse) dans un déluge de pluie drue, mettant un terme à une vague de chaleur caniculaire (été 2017)
Les champs en jachère aux abords de la ville se languissent encore dans un calme trompeur… et bien éphémère au vu de ce qui s’apprête à s’abattre sur ces ilots de nature… (août 2017).
Voyez comme cette terre est sèche, souffrant d’un déficit hydrique chronique. Mais quelque chose me dit que ça ne va pas durer…
Les envahisseurs !
Armagueddon
L’ultime rayon de soleil
Le beau temps à ma gauche, la pluie à ma droite, s’abattant en un rideau parfaitement marqué sur la ville de Bâle en arrière plan (été 2015).
Comme une ventouse au bout d’un tentacule, ce mémorable nuage d’orage semble vouloir aspirer la douceur de l’été dans un déluge d’air froid et humide (juillet 2017).
Nuage d’orage présentant à sa base d’impressionnants mammatus – ces nuages en forme de mamelons au centre de l’image – des structures annonçant en général l’imminence d’un orage violent.
Volutes obscures dans un ciel chargé, ou les prémices de temps agités… (été 2016).
Avant l’orage
Pour l’instant, seul le feuillage de l’arbre éclipse le soleil, mais bientôt l’imposant nuage d’orage (cumulonimbus pour les spécialistes) va prendre le relai de manière bien plus drastique encore… (juillet 2016).
Cumulonimbus à l’enclume parfaitement dessinée, un nuage propice à déclencher un orage mémorable au dessus de nos voisins Suisses
Le prédateur de l’arc-en-ciel
La 4eme dimension
Juillet 2015. Un air brûlant venant du Sahara balaie le paysage, peignant le soir de sa teinte jaunâtre. Et là, soudain, venu de l’ouest, le gigantesque cumulonimbus surgit, comme un vaisseau d’envahisseurs venus d’au delà du ciel…
L’arrivée de l’enfer…
Mamma mia !
Mammatus au couchant
Le ciel coupé en deux
L’été. Le soleil ardant dessèche les sols, faisant s’évaporer toute l’humidité, formant immanquablement des congestions nuageuses au dessus des reliefs alentours, propices à la formation d’orages.
L’arrivée de l’Arcus
WordPress:
J’aime chargement…